les anciens et les modernes (30/12/13)
Si autrefois on disait d’une affaire qu’elle était rondement menée, il faut semble-t-il qu’aujourd’hui on se dise « carrément » et parfois « trop »dans l’acquiescement exultant du constat partagé : « c’est clair ! »
Y aurait-il là quelque volonté à être à la pointe de la modernité sans que les angles ne puissent s’arrondir ?
Sans doute nous faudrait-il remettre sur le tapis l’épineux problème de la quadrature du cercle et envisager la chose comme le possible développement de l’indécidable ou du pré-désiré comme horizon d’un « développement durable ».
Marc Bozec