festivus covidialibus( 01/07/22)
Amis de la pandémie, bonjour !
Et oui, le général cluster est de retour et nous aurions bien souhaité qu’il nous lâche la grappe si je peux me permettre ce jeu de mot anglophone…
Cependant, pas de contrainte, pas de masque, homo festivus (pour reprendre le terme de Philipe muray) peut donc s’adonner en toute quiétude à la covidialité des grands rassemblements moutonniers et autres et ainsi honorer la mémoire du grand tueur d’indiens.
Cela, bien sûr avec la bénédiction maternante de notre première ministre (enfin une femme pour représenter cette société incestuelle !) : une suggestion tout au plus, le port facultatif du masque ; il ne s’agirait pas de réveiller l’ire des grands enfants que deviennent les français, déjà qu’en période électorale la covid avait eu l’extrême obligeance de disparaitre alors en cette deuxième ère macroniste, pas question de parler des sujets qui fâchent et encore moins de frustrer, non mais…
Le hic (dans cette société du hic et nunc) c’est que la petite bestiole variant à l’envie continue de tuer et de provoquer des dommages corporels non négligeables dont certains neurologiques, on s’en serait douté, au regard de l’attitude immature et délétère de certains. Force est de penser que ça ne tourne pas bien rond dans l’encéphale du festivus de base comme dans celui de certains, fort nombreux, de nos politiques.
Enfin, rien de grave, maman va soigner le gros bobo : mais parfois il s’avère que non et là c’est moins drôle .
A vos responsabilités, prêts ? Partez !
Marc Bozec.