Etre ou ne pas être de mauvaise foi (11/12/23)
Notre grand satrape (puisse-t-il y disparaître d’ailleurs), et aussi prince président, semble vouloir réinstaurer l’union du sabre et du goupillon : fort d’avoir déjà assisté à une messe papale (de celles qui protègent les arrières), ne voilà-t-il pas qu’au lieu de revisionner en toute quiétude Rabi Jacob en s’enfilant quelques bières à défaut d’autre chose, qu’il fait célébrer Hanouka au cœur même de ce qui devrait être un bastion de la laïcité.
Faut-il donc qu’il ait une très haute idée de lui-même pour penser que son souffle jupitérien ou prétendu tel (qu’on a vu à l’action au début de la guerre en Ukraine !) soit en mesure de juguler quoi que ce soit : que ce soit l’antisémitisme comme les crimes de guerre perpétrés par les israéliens.
Pour faire bonne mesure, il devrait inviter musulmans, bouddhistes, hindouistes et autres adorateurs de tout poil.
L’Elysée en open temple : excusez-moi du peu, mais ça aurait de la gueule ! Un peu plus que ce à quoi il semble être consacré aujourd’hui : profit, profit et profit voire même profit et profit qui s’en dédit. Moneychangers in the temple pour s’angliciser un peu plus.
A quand Emmanuel dans le rôle de Jésus ? (pour mémoire, on ne prononce pas le « s » final)
Amis de l’argenterie et contempteurs du grand égotiste, je ne vous salue point.
Tout cela ne mériterait-il pas quelques calottes ?
Marc Bozec