emmanuel le retour du devoir de mémoire (14/07/22)
Il me semble avoir été peut-être trop implicite dans mon précédent article (Emmanuel ou le devoir de mémoire). Je ne conteste en aucun cas le fait que « cela lui en ait touché une sans faire bouger l’autre ».
Loin de moi en effet quelque propos outrageant visant une personne chargée d'une mission de service public et qui plus est faisant autorité, ce, de plus, de manière la plus légitime et régalienne qui soit : il faut rendre à César ce qui lui appartient.
En l’occurrence, étant issu du sérail de la finance, il va de soi que la fluctuation des bourses ne lui est pas étrangère, voire même qu’il la maîtrise totalement.
Avec l’âge ses préférences iront peut-être à Clémenceau :"La vie m'a appris qu'il y a deux choses dont on peut très bien se passer : la présidence de la République et la prostate" .
Et puis là, on restera bien sous la ceinture, ce qui semble bien lui seoir. Souhaitons par ailleurs qu'il ne se fasse pas prince président dans l'attente du moment propice à une telle citation!
Marc Bozec.